Sur le site de la scandaleusesn, Dèesse Major, artiste déjantée, princesse visiteuse des caniveaux, aurait une place de choix. Rien ne semble arrêter la sulfureuse dans son déhanchement pervers vers le vil. Comme une pile vide de sens, cette «nulle» en sol majeur et mineur drague le Net à la recherche de buzz. Sur la toile, cette araignée aux compas longs, à la peau dépigmentée comme un Taxi jaune noir, déshabille sa pudeur, insulte la morale et s’assoit indignement sur ses vertus. Mais pas que … l’on aimerait la voir exceller dans ce qu’elle sait faire : la musique. Elle n’a accouché difficilement que de trois tristes singles, sans rythme ni tonalité musicale d’envergure. Sans réelle gamme pour lever les foules ou les soulever. Elle n’a pas une voix en or, n’a pas la plastique de Beyonce et ne fait rien pour appâter de sa voix, la grande famille des mélomanes. Alors, Déesse Major rivalise d’obscénités et d’impertinence à choquer le Boy Town le plus fun. C’est vraiment pathétique de confondre show-biz et sexe. Ça n’a rien à voir Déesse. Tu peux bien devenir «Major» sans être vulgaire, réussir dans la musique sans te détourner de tes valeurs. Déesse, les fillettes te regardent et tu leur sers d’exemple. Alors, s’il te plait, fais gaffe à ce que tu montres. M’enfin, on attend ton album, les singles à l’infini, ça ridiculise une carrière