Acteur dans des séries qui cartonnent en ce moment Mor Ndiaye alias Wadioubakh à l’image des jeunes de sa génération, n’a pas connu une vie paisible. Il a bourlingué avant de se faire une place au soleil. C’est à Keur Massar qu’il est né et a fait ses humanités. Enfant d’une grande fratrie, il est inscrit comme tous autres gamins de son âge à l’école française. Selon les confidences, il était également un brillant élève. La preuve, il ne sortait jamais du tableau d’honneur. Malheureusement, il n’a pas trop séjourné à l’école française à cause d’une négligence de ses parents, qui ont omis de le déclarer à sa naissance. Le brillant élève est alors contraint d’arrêter subitement l’école en classe de Cm2.
De l’école française, il est inscrit à l’école coranique mais il sera interdit un jour de mettre les pieds au « daara », par son maitre coranique. « Je ne faisais que voler ses papayes plutôt que de me consacrer à l’apprentissage du Coran. Un jour, il m’a demandé de ne plus venir », raconte le comédien dans une interview accordée au journal « l’Observateur ». Loin de se démoraliser, « Wadioubakh », décide de se trouver un métier pour donner sens à sa vie. En vrai bricoleur, doué de ses mains, il choisit l’électricité et se spécialise dans l’automobile. Aujourd’hui il gère son propre atelier, qu’il allie avec la comédie
Et pour éviter que d’autres enfants subissent le même préjudice que lui, Mor Ndiaye profite de sa célébrité pour venir en aide aux enfants qui ont des problèmes d’extraits qui les empêche de mener à bien leurs études.
LeralActeur dans des séries qui cartonnent en ce moment Mor Ndiaye alias Wadioubakh à l’image des jeunes de sa génération, n’a pas connu une vie paisible. Il a bourlingué avant de se faire une place au soleil. C’est à Keur Massar qu’il est né et a fait ses humanités. Enfant d’une grande fratrie, il est inscrit comme tous autres gamins de son âge à l’école française. Selon les confidences, il était également un brillant élève. La preuve, il ne sortait jamais du tableau d’honneur. Malheureusement, il n’a pas trop séjourné à l’école française à cause d’une négligence de ses parents, qui ont omis de le déclarer à sa naissance. Le brillant élève est alors contraint d’arrêter subitement l’école en classe de Cm2.
De l’école française, il est inscrit à l’école coranique mais il sera interdit un jour de mettre les pieds au « daara », par son maitre coranique. « Je ne faisais que voler ses papayes plutôt que de me consacrer à l’apprentissage du Coran. Un jour, il m’a demandé de ne plus venir », raconte le comédien dans une interview accordée au journal « l’Observateur ». Loin de se démoraliser, « Wadioubakh », décide de se trouver un métier pour donner sens à sa vie. En vrai bricoleur, doué de ses mains, il choisit l’électricité et se spécialise dans l’automobile. Aujourd’hui il gère son propre atelier, qu’il allie avec la comédie.
Et pour éviter que d’autres enfants subissent le même préjudice que lui, Mor Ndiaye profite de sa célébrité pour venir en aide aux enfants qui ont des problèmes d’extraits qui les empêche de mener à bien leurs études.
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