Selon Dame Babou, ancien journaliste à Sud Fm, résidant au Etats-Unies, les lois en Amérique n’interdissent pas les insultes. Ce qui fait que le sénégalais Assane Diouf qui a occupé les réseaux sociaux dernièrement ne peut pas être poursuivi pour ce délit aux Etats-Unis.
A en croire M. Babou, Assane Diouf n’a pas été le premier sénégalais a insulter un président de la République du Sénégal. Sous l’administration Senghor, se souvient-il, « il y avait Ngagne photographe, le grand supporter du Jaraaf de Dakar, Thialang, et surtout Bocoum qui ne cessaient d’insulter le président Senghor au stade Demba Diop. Pire, Bocoum n’hésitait pas de se positionner devant les grilles du Palais, aux côtés des gendarmes en faction, pour charrier des insanités au président de la République ». Pourtant, ajoute t-il, « il n’a jamais été inquiété ou arrêté pour cet état de fait au Sénégal ».