L’année dernière (2015), à pareil moment, le ciel avait fini d’ouvrir ses vannes. C’était le 9 juillet dernier. En 2016, il aura fallu attendre onze (11) jours de plus. Dans tous les cas, à l’heure où ces lignes sont publiées, une très fine pluie s’égoutte du ciel Dakarois.