Times24.info: L’épouse en secondes noces de la star planétaire Youssou Ndour a décidé, à son corps défendant, de ne plus toucher à l’alcool, selon des sources concordantes interrogées par Times2.info. La bien nommée «Aïda Champagne» était célèbre dans les milieux chics de Dakar et des capitales occidentales. Une maladie décelée expliquerait pourquoi la belle Aïda a arrêté de boire de l’alcool.
Née en 1977 à la maternité de l’hôpital Principal de Dakar, Aïda Coulibaly, de son vrai nom, est en train de prend une nouvelle vie.Mariée en 2006 avec Youssou Ndour, en secondes noces de l’artiste, avant que le divorce d’avec sa première femme Mami Camara ne soit prononcé, la ravissante Aïda est aussi une femme qui adore ses enfants et sa maman, selon des sources de Times24.info.
Mais depuis quelque temps, l’épouse du ministre conseillé du président sénégalais Macky Sall est moins présente en public. Surtout dans les milieux bling-bling de Dakar. Dorénavant, Aïda ne sort que pour voyager en Europe ou aux États-Unis. Et elle consacre la majeure partie de ses occupations à ses enfants dont celui qu’elle a eu avec un Italien. Et comme pour conforter les uns et les autres sur la nouvelle vie d’Aïda, son chanteur de mari est partie de cette confidence touchante :«Aïda adore les enfants, surtout les miens», confie Youssou Ndour lors d’une soirée de gala de la fondation qui porte son nom.
Mais l’épouse de Youssou Ndour traîne une réputation de consommateur d’alcool. D’où son surnom évocateur : «Aïda Champagne».
C’est connu, on est mieux défendu que par ses proches. Et pour protéger sa fille chérie, maman Aïda Ndour née Coulibaly n’est pas passé par quatre chemins : «Ce n’est pas ma fille qui aime le champagne, mais moi, sa maman, qui adore le vin de luxe». Paroles de sa mère Francine, médecin généraliste.
Et qu’en pense son mari ? «Koumasi bamakh ma déme» (si on mit pousse, je pars !) dixit Youssou Ndour dans un de ses chansons. Certainement, il va pouvoir suivre les pas de sa douce moitié.
Selon des sources médicales, Aïda Champagne traîne une maladie dont le traitement est incompatible avec toute consommation d’alcool. Et Aïda est résolue à se battre contre ce mal dont nous terrons le nom. Mais que ses admirateurs se rassurent : la maladie n’est pas incurable.
Il faut dire que la sulfureuse Aïda a, depuis qu’elle a épousé Youssou Ndour, complètement changé de mode de vie, nous a confié une de ses amies d’enfance. Elle, qui était un peu trop indépendante d’esprit, un peu trop «je m’en fous de ce que les gens racontent», un peu trop libre, est devenue plus attentive à ses faits et gestes, lit-on dans Weekend Magazine qui n’apparait plus en kiosque au Sénégal.
«En terminale, toutes les filles de la classe avaient changé physiquement et mentalement, se remémore un de ses anciens camarades de classe au lycée Jean Mermoz. Elles avaient presque toutes importé de nouvelles valeurs. Ce n’était plus la course à celle qui était la plus brillante, la meilleure dans les études, mais qui était la plus branchée, qui s’habillait le mieux, qui avait le plus beau copain ou qui était invité à manger dans un restau chic. Je pense qu’Aïda a été victime de ça».
Aujourd’hui, «si elle ne craque pas, c’est grâce à ses filles avec qui elle meuble son temps, confie son amie et confidente. Mais elle s’ennuie un peu, c’est pourquoi d’ailleurs elle se tue dans son job de directrice de la Fondation Youssou Ndour et ne rate jamais l’occasion d’accompagner son mari dans ses voyages où dans des fêtes mondaines pour retrouver le monde. Mais elle souffre beaucoup du traitement de la presse sénégalaise qui épie ses faits et gestes. Elle ne comprend pas souvent l’acharnement fait sur sa personne. Quand a éclaté l’affaire du divorce You-Mami Camara, elle ne voulait même plus lire la presse. Parce qu’elle est tout le temps insultée par les journalistes qui jusque-là ne connaissaient rien de son histoire».
Face à l’adversité, Aïda Ndour a sans doute hérité de la force de caractère de sa chère maman. Docteur Francine, sa mère, entre deux bouffées de cigarette, disait ceci : «Si j’étais sensible à tout le mal qui se dit sur ma famille, je ne me serai pas mariée à un Noir. A l’époque, j’étais un jeune médecin, fraîchement sortie de l’Université, qui pouvait travailler en France, mais j’avais décidé d’épouser un Africain et de le suivre dans son pays, malgré tout ce qui se disait sur moi. Je n’ai jamais flanché. Heureusement, ma fille Aïda est tout comme moi, elle se fout mal de beaucoup de choses.»
«Aïda n’a de référence que sa maman», conclut son amie. «Elle a tout pris de sa maman», écrit le journaliste Pape Sambaré Ndour dans les colonnes de l’ex-magazine du groupe Avenir communication de Madiambal Diagne.
Bon rétablissement «Tanti Aïda» !
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