En dépit des appels à la paix et à la sérénité réitérés par le Parti Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC) et sa présidente Madame Anta Babacar Ngom Diack, depuis le début de la campagne électorale, des esprits malveillants cherchent, par l’intimidation et la brutalité, à étouffer notre voix et à ternir notre image.
Le 6 novembre 2024, à Mbacké, le convoi de notre parti a été victime d’une attaque lâche et injustifiable. Sous les cris et slogans scandés en soutien à M. Ousmane SONKO, des assaillants ont violemment pris à partie notre caravane, endommageant sérieusement le véhicule de notre responsable départemental. Les autorités locales, notamment le commissariat de police de Mbacké, ont dressé un constat officiel de cet acte ignoble. Plus tôt dans la journée, notre responsable de Ndoulo a également été victime d’une agression physique par des partisans du PASTEF. Face à ces provocations répétées, ARC, fidèle à ses valeurs de paix, de démocratie et de respect de la diversité d’opinions, ne cédera ni à la peur ni à l’intimidation.
Nous portons plainte contre M. Ousmane SONKO, président du parti PASTEF, contre le responsable départemental de PASTEF à MBACKE et tous ceux qui, sous leur responsabilité, se rendent complices de ces agressions. Nous exigeons que toute la lumière soit faite sur ces incidents et que les coupables soient traduits en justice.
Nous en appelons au Ministre de l’Intérieur pour qu’il prenne les mesures nécessaires afin de garantir la sécurité de nos militants, de nos responsables et de toutes nos activités sur le territoire national. L’État doit protéger le droit inaliénable de chaque parti à mener campagne librement, sans menaces ni violences.
Nous réaffirmons avec force notre engagement pour la démocratie, le respect des institutions et un débat d’idées digne. ARC appelle ses militants à poursuivre leurs activités dans le calme et la retenue.
Le directeur de la Communication