Au procès de Bosco Ntaganda devant la Cour pénale internationale (CPI), la parole est désormais à la défense. L’ancien chef d’état-major en second de l’Union des patriotes congolais (UPC) répond de dix-huit chefs d’accusation pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis en 2002 et 2003 en Ituri, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Depuis l’ouverture de son procès à La Haye, en septembre 2015, le procureur a présenté 71 témoins. La défense prévoit d’en convoquer 113, dont Bosco Ntaganda.
Avec Rfi