Barack Obama fait pleurer Michael Jordan et Ellen DeGeneres

TOPSHOT - US President Barack Obama smiles before presenting former NBA basketball player Michael Jordan with the Presidential Medal of Freedom, the nation's highest civilian honor, during a ceremony honoring 21 recipients, in the East Room of the White House in Washington, DC, November 22, 2016. / AFP PHOTO / Nicholas Kamm
TOPSHOT - US President Barack Obama smiles before presenting former NBA basketball player Michael Jordan with the Presidential Medal of Freedom, the nation's highest civilian honor, during a ceremony honoring 21 recipients, in the East Room of the White House in Washington, DC, November 22, 2016. / AFP PHOTO / Nicholas Kamm
TOPSHOT – US President Barack Obama smiles before presenting former NBA basketball player Michael Jordan with the Presidential Medal of Freedom, the nation’s highest civilian honor, during a ceremony honoring 21 recipients, in the East Room of the White House in Washington, DC, November 22, 2016. / AFP PHOTO / Nicholas Kamm

L’acteur Robert de Niro, le rocker Bruce Springsteen ou encore le basketteur Michael Jordan ont été parmi les vingt-et-une dernières personnes à être décorées de la médaille présidentielle de la Liberté par Barack Obama mardi.

Parmi les autres récipiendaires de cette décoration, la plus haute récompense possible pour des civils, le président Obama a également honoré les acteurs Tom Hanks et Robert Redford, le basketteur Kareem Abdul-Jabbar, la chanteuse Diana Ross, le milliardaire Bill Gates ou l’actrice et présentatrice de talk-show Ellen DeGeneres, très émue au moment de recevoir sa récompense.Dans son discours, Barack Obama a souligné le courage de la présentatrice TV quand elle a officialisé son homosexualité: « Que ce fardeau était incroyable à porter, de prendre un tel risque comme ça, pour sa carrière. Les gens ne font pas ça souvent, et ensuite, porter ainsi les espoirs de millions de gens sur ses épaules… »

« Comme dirait Ellen, ‘nous voulons tous une chips qui puisse supporter son poids de guacamole’. Cela n’a aucun sens à mon avis, mais j’ai pensé que cela allait changer l’ambiance, car j’étais sur le point de me mettre à pleurer… », a poursuivi le président américain, avant de souligner avec humour la longue carrière de Robert de Niro, « père sicilien devenu mafioso new-yorkais, puis mafioso à la tête d’un casino, puis mafioso chez son psy, puis beau-père pire qu’un mafioso… »

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