La Sedima s’est défendu des accusations « non fondées », selon la Directrice Générale qui plane sur le Groupe depuis quelques jours. Selon L’Observateur, Anta Babacar Ngom dément formellement la contamination de son couvoir et prend à témoin les services vétérinaires du pays. Selon elle, la Sedima avait abattu tous ses sujets pour reprendre à Zéro lorsque la maladie Marek a été annoncée. « la consommation de l’œuf et du poulet ne présente aucun danger. Notre couvoir n’a jamais été contaminé ni infecté. Nous sommes prêts à le faire visiter» souligne-t-elle. Se demandant quel sont les motivations réelles de ceux qui portent ces accusations contre sa boite.
Poursuivant, Anta Babacar Ngom soutient que la maladie Marek n’est pas une maladie du couvoir mais de l’élevage. Et la contamination n’est quez horizontale, c’est-à-dire par le contact de sujets ou d’un environnement infecté, a-t-elle expliqué.
Il est heureux que les responsables de la SEDIMA daigne réagir par rapport aux graves accusions portées à leur encontre par les éleveurs victimes de la MAREK. Leur réponse était d’autant plus attendue qu’elle permet de diversifier les sons de cloches, mais surtout de rassurer les aviculteurs quand à la sécurité du couvoir qui serait indemne de toute infection.
Si le Ministère de l’élevage n’a pas jugé utile de réagir face aux graves accusations des éleveurs, c’est certainement parce qu’elles disposent de ces éléments d’appréciations que nous n’avons pas. Sinon on comprendrait mal le mutisme de ses services vétérinaires, en charges de la police sanitaire des élevages. Parlant de ces services, je dois souligner, pour avoir une certaine connaissance du milieu, que s’ils appliquaient strictement les règles et ne faisaient pas preuve de souplesse, plusieurs structures avicoles ne survivraient pas. Je ne suis rentré dans aucune des couvoirs de la place(peut être aurais-je l’occasion d’en visiter un ou plusieurs) pour pouvoir me faire une idée de leur niveau de conformité, mais combien de fermes respectent les règles de biosécurité? Peu!
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Il est heureux que les responsables de la SEDIMA daigne réagir par rapport aux graves accusions portées à leur encontre par les éleveurs victimes de la MAREK. Leur réponse était d’autant plus attendue qu’elle permet de diversifier les sons de cloches, mais surtout de rassurer les aviculteurs quand à la sécurité du couvoir qui serait indemne de toute infection.
Si le Ministère de l’élevage n’a pas jugé utile de réagir face aux graves accusations des éleveurs, c’est certainement parce qu’elles disposent de ces éléments d’appréciations que nous n’avons pas. Sinon on comprendrait mal le mutisme de ses services vétérinaires, en charges de la police sanitaire des élevages. Parlant de ces services, je dois souligner, pour avoir une certaine connaissance du milieu, que s’ils appliquaient strictement les règles et ne faisaient pas preuve de souplesse, plusieurs structures avicoles ne survivraient pas. Je ne suis rentré dans aucune des couvoirs de la place(peut être aurais-je l’occasion d’en visiter un ou plusieurs) pour pouvoir me faire une idée de leur niveau de conformité, mais combien de fermes respectent les règles de biosécurité? Peu!
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