Les différends entre l’État du Sénégal et Aïda Ndiongue est loin de connaître un épilogue, l’ex-célèbre sénatrice va répondre demain devant la Cour suprême.
Suite à sa condamnation en avril passé, par la Cour d’appel de Dakar à une peine d’un an assortie de sursis pour escroquerie portant sur des deniers publics, Aïda Ndiongue s’était pourvue en cassation d’autant plus qu’elle avait été libérée en première instance.
Le parquet général n’était pas également content de la décision car il avait requis une peine de cinq ans assortie de la confiscation des biens de la prévenue. Des avoirs évalués à 13 milliards…
La défense souhaite que la responsable libérale, accusée d’avoir spolié l’Etat à travers des marchés fictifs, soit relaxée purement et simplement. Car les avocats sont convaincues que l’ex-mairesse des HLM est victime d’acharnement politique puisque les marchés ont été acquis légalement et exécutés intégralement. Le parquet pense toujours le contraire et veut qu’elle rembourse l’intégralité des sommes encaissées, rapporte le journal Enquête.
La défense souhaite que la responsable libérale, accusée d’avoir spolié l’Etat à travers des marchés fictifs, soit relaxée purement et simplement. Car les robes noires sont convaincues que l’ex-mairesse des HLM est victime d’acharnement politique puisque les marchés ont été acquis légalement et exécutés intégralement. Le parquet pense toujours le contraire et veut qu’elle rembourse l’intégralité des sommes encaissées.
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