L’OBS – Cupidon a, comme qui dirait, touché en plein cœur les danseuses. Après Ndèye Guèye, voilà que sa collègue Aïda Dada quitte le rang des célibataires. C’est un footballeur nommé Moustapha Nar, alias Daddy, qui a décidé de faire d’elle son épouse, après seulement 3 semaines d’amourette. Le mariage a été célébré hier en grande pompe…
C’est la saison des amours chez les danseuses. Et comment ! Après Ndèye Guèye, patronne des «Gazelles» qui s’est unie «pour le meilleur et pour le pire» au lutteur «Boy Djinné», c’est au tour d’Aïda Dada d’afficher son bonheur aux côtés de son footballeur de mari. Les deux tourtereaux se sont dits «Oui» hier, à Nord-Foire (quartier dakarois), au domicile de la grande sœur de la mariée. Une cérémonie où les petits plats ont été mis dans les grands et le gratin dakarois bien représenté. L’époux qui n’a pas été pingre, a, selon une source bien au fait, offert la rondelette somme de 2 500 000 FCfa, en guise de «waru gar» (dot). Une information que la nouvelle mariée, jointe au téléphone, n’a pas voulu confirmer. Elle a néanmoins consenti à nous dire que le montant de sa dot n’était pas important à ses yeux. «Mon mari et moi nous aimons, c’est l’essentiel. Le reste importe peu. Mais ceux qui étaient présents à la cérémonie, savent que nous n’avons pas lésiné sur les moyens», dit-elle, la voix mielleuse. Amour quand tu nous tiens !
Une idylle de 3 semaines
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Moustapha Nar alias Daddy est bel et bien épris de sa dame. Le footballeur qui évoluait au Maroc a rencontré sa dulcinée, il y a seulement 3 semaines, et a décidé de l’épouser devant Dieu et les hommes. «Nous nous sommes rencontrés ici à Dakar. Il était venu en vacances, nous nous sommes vus et nous avons craqué l’un pour l’autre. Puisque notre amour était plus fort que tout, nous avons décidé de ne pas attendre pour le concrétiser devant tout le monde. Je suis aujourd’hui une femme comblée», détaille la danseuse.
Son mari, plus jeune qu’elle ?
Ndèye Guèye et Aïda Dada ont, semble-t-il, un autre point en commun, en plus de partager la même passion de la danse. Selon certaines indiscrétions, l’élu de son cœur serait également moins âgé qu’elle. Vrai ou faux, Aïda botte en touche, il n’a qu’à avoir 8 ans, je m’en moque. Certains, rongés par la jalousie, trouveront toujours quelque chose à redire. Qu’il soit plus jeune ou plus âgé que moi, je m’en moque.» L’amour n’a pas d’âge, dit-on, et Aïda dada renchérit : «Mon époux est très craquant. C’est un homme reconnu par son talent. Il est respectable, généreux et, par-dessus tout, beau à tomber à la renverse. Je l’aime à en mourir et prie pour que notre union soit pour la vie. Ainsi, nous pourrons, ensemble, fonder un foyer solide, avec de beaux et bons enfants.» Voilà qui est dit…
MARIA DOMINICA T. DIEDHIOU