Âgée de 14 ans, Aminata Traoré déclare être forcée au premier rapport sexuel mais au tribunal, tout chamboule…

Elle déclare être forcée au premier rapport sexuel, au tribunal, elle affirme en être consentante

Parfois, il y a des faits divers burlesques qui tiennent en haleine toutes les parties concernées. Et c’est bien le cas de cette histoire de viol mettant aux prises l’élève A.T réputée très brillante dans les études et le sieur A.D tous domiciliés à l’unité 17 des parcelles assainies. En effet l’idylle de ces deux tourtereaux a débuté depuis 2014 date à la quelle, la jeune fille était juste âgée de 14 ans. Le garçon lui étrennait ses 20 berges. Au niveau de la salle d’audience ce mardi, les membres des familles des prévenus étaient venues nombreux. Le climat était plutôt électrique car pour la première fois, ces deux tourtereaux allaient devoir s’explique à la suite d’une plainte ide Aminata Traoré, génitrice de la victime tombée enceinte de son Don Juan. Ce n’était pas une mince affaire. D’abord la fille a expliqué qu’elle avait bien dit à A.D qu’elle était enceinte à la suite de leurs nombreuses escapades. Mais ce dernier n’y croyait. Dans le procès verbal de la police, le président de la cour a fait savoir à la victime qu’elle avait déclaré qu’on l’avait forcé au premier rapport sexuel. Mais contre toute attente, A.T a répondu qu’elle avait seulement peur des représailles de sa famille mais qu’elle était consentante. Et ce, devant les yeux hagards de sa mère à l’origine de la plainte. Il a été aussi déterminé que le sieur A.D n’a jamais franchi le seuil de la maison de sa dulcinée. Qu’ils se voyaient souvent chez lui ou chez des copains. Ce qui a fait dire au procureur que les autorités parentales ne dorment plus à cause des prédateurs de la rue qui ne lorgnent que leurs jeunes filles. Seulement une autre zone d’ombre s’est révélée dans cette affaire. La fille aurait expliqué que son premier rapport sexuel avec A.D s’est déroulé dans un bâtiment abandonné. Une pièce à conviction saisie par le procureur pour dire qu’à l’âge de 14 ans, tout rapport sexuel renvoie au viol, d’où le délit de détournement de mineur et de pédophilie. Au demeurant, la mère de la victime a dû faire machine arrière arguant qu’elle pardonne en tant que mère de famille. Mais ce retournement de veste n’a pas enchanté son avocat qui lui a sévèrement demandé s’elle tenait d’être défendue ou d’abandonner les charges. Une atmosphère qui démontrait à suffisance que la fille a amené sa maman à plus de retenue dans cette affaire. Ainsi, le procureur a requis 2ans ferme pour viol, pédophilie et détournement de mineur. En ce qui concerne le délibéré, il a été renvoyé sine die.

 

 

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