L’association de malfaiteurs et la détention de signes monétaires falsifiés dont on accuse Thione Seck, pourraient se dégonfler comme une baudruche, à en croire la dernière livraison de « Jeune Afrique » reprise par Enquête.
Dans l’article publié par le journal, on affirme que les sommes astronomiques avancées initialement dans ce dossier étaient de pures affabulations. À l’ouverture des scellés en avril 2017, « sur la quarantaine de ballots contenus dans la sacoche, le juge en a extrait un seul, qu’il a présenté à notre client », relate Me Abdou Dialy Kane , l’un des avocats du chanteur.
« Il s’agissait d’une liasse compacte, emballée dans du plastique. Sur le sommet, on pouvait voir un billet en Euro de couleur verte. Mais, à sa base, on distinguait des kleenex de la même teinture« , ajoute-t-il.
Toutefois, l’auteur de cet article, montre que beaucoup de manipulations, avec des fuites orchestrées par les enquêteurs, ont contribué à créer une bulle médiatique autour de cette affaire.