Le journal L’Evidence a publié dans sa parution de ce vendredi 6 mars, la version de Mamadou Diop sur l’affaire de moeurs avec la jeune fille Dieyna Baldé, âgée de 17 ans. Dans ce papier, plusieurs révélations fracassantes ont été faite.
En lisant ces lignes, on note qu’il s’agirait d’un complot manigancé par quelqu’un.
“Au soir du 27 février 2020, des messages vocaux ainsi que des images obscènes montés ont été envoyées à la famille de Monsieur Diop en l’occurrence sa fille chanteuse Abiba et son manager. Il s’en est suivi des menaces et révélations concernant un chantage moyennant des versements d’argent. Tout ceci, de sources sures, est une cabale orchestrée de toute pièce par l’ex-directrice générale de l’ISEG déchue de ses fonctions pour fautes de détournement et de mauvaise gestion.”, écrit le journal.
“Cette cabale s’est par la suite accentuée après une violation de domicile de Mr Diop par sa deuxième épouse qui a abandonné son domicile conjugal pour se réfugier dans une chambre sous prétexte que la maison familiale de Mr Diop lui appartient.
Il s’en est suivi des acharnements féroces sur la personne de Abibatou Diop alias Abiba. Profitant des accusations de Dieynaba Baldé contre Mr Diop pour une supposée grossesse Aissatou Seyfodou ne cesse de monter des plans machiavéliques et de tenir de facto l’image de son ex-mari à travers des articles de presse de’ tout bord commandités par ses proches.
Nous tenons d’emblée à dire que l’origine des altercations avec son ex- mari est liée à des problèmes d’infidélité, d’adultère et de détournement de fonds inestimable. Ces mêmes fonds étaient utilisés pour promouvoir l’artiste Wally Seck et de créer une atmosphère concurrentielle entre Wally Seck et Abiba (financement des déplacements et séjours pour les concerts internationaux de Wally Seck, attributions frauduleuses de marchés événementiels à l’ISEG, etc.)”, ajoute le journal pour expliquer quelques détails sur le différend entre le père de la chanteuse Abiba et sa deuxième épouse qui est l’ex-directrice générale de l’ISEG.
Aujourd’hui, cette affaire a pris une autre tournure et défraie toujours la chronique dans les médias et réseaux sociaux.