Selon des sources proches du dossier impliquant la transitaire Ndèye Nancy Niang, directrice de Transcontinental Transit, sous les verrous et d’autres hommes d’affaires Sénégalais.
Nous avons contacté des sources pour vérifier si effectivement le nom du sieur Ndiaye : cité comme acheteur ou même receleur selon certaines de nos sources est bien mêlé dans cette histoire :A notre grand étonnement Aziz Ndiaye, son frère Massata et même une troisième personne dont nous tenons pour l’instant a gardé le nom sont toujours concernés par l’enquête. Loin d’être un enfant né hier, l’ancien promoteur de lutte a bien ferré et assurer ses arrières quant à une possible citation devant la justice. Cependant les infos que nous avons sont très alarmants pour lui.
En effet le maitre des poursuite n’entend pas mettre cette affaire en commerciale. Des suites judiciaires sont même à prévoir. Des arrestations ne seraient dalleurs pas une surprise pour ceux qui suivent ce dossier qui risque de faire l’effet d’une bombe…
Affaire à suivre…
Pour mieux comprendre cette Affaire : Relire ce passage
Nouveaux rebondissements sur l’affaire du détournement d’un bateau d’engrais dont la valeur est estimée à 3,9 milliards F Cfa.
Un scandale dans lequel la directrice de Transcontinental Transit, Ndèye Nancy Niang, 50 ans, présumée responsable de la fraude, mouille le célèbre promoteur de le lutte Aziz Ndiaye et son frère Massata.
L’Observateur renseigne que Nancy Niang, selon l’acte d’accusation, «a pris le contrôle de la marchandise sans paiement du Port de Dakar et les a stockés dans deux de ses entrepôts au Cices et à Rufisque.»
Elle a refusé de retourner la marchandise et a ignoré de nombreux appels à la société RE-Energy basée aux Émirats Arabes-Unis et dirigée par le Turc Rahul Chandra.
RE-Energy avait signé un contrat de vente de 35 mille tonnes d’engrais avec la société de Ndèye Nancy Niang.
Après la vente, elle a fait un virement de 650 millions Fcfa en plus des dépenses effectuées, mais par «tromperie», elle a envoyé une « confirmation de virement bancaire fausse».
Et qu’après des appels répétés, elle a accepté d’effectuer le paiement de 12 mille tonnes au plus tard le 30 janvier 2021.
Les entrepôts sous douane lui appartiennent. Toute quantité retirée des entrepôts est sous sa responsabilité.
La dame n’a respecté aucun engagement découlant des contrats, déplore l’avocat de RE-Energy.
aadkr