Suite à la plainte qu’aurait déposé une dame contre le Ministre-Conseiller Arona Coumba Ndoffène Diouf l’accusant de “violence et tentative de viol”, Senego est en mesure de vous apporter plus de détails dans cette affaire qui défraie la chronique depuis lundi.
“J’ai connu Madame Baroso née Seynabou Touré par sa mère, Mame Fatou Conaré, une amie d’enfance avec laquelle j’ai grandi au quartier Bopp (Colobane, Dakar). Elle me l’a présentée en 2014 afin que je puisse l’aider car elle traversait une période de divorce difficile avec son mari, Monsieur Raoul Baroso d’origine espagnole, lequel le Tribunal de Dakar avait confié la charge de leurs deux filles pour des raisons de mœurs légères du côté de la mère. Depuis ce jour, je n’ai cessé de la soutenir. D’abord en lui confiant la charge du site et des pages FB de ma société, ensuite la confection des catalogues et brochures, afin qu’elle puisse avoir un peu de revenu. Madame Baroso ne m’a jamais livré ces commandes à l’exception de 250 catalogues sur 500 déjà payés. Elle s’est présentée à mes bureaux, le vendredi 10 juin 2016, pour réclamer le paiement de services qui n’étaient pas livrés tout en me menaçant de me “détruire médiatiquement” si je ne lui donnais pas de l’argent. C’est alors que je lui ai demandé de quitter mon bureau où elle a refusé, en continuant ses menaces et injures. Ainsi, je l’ai traîné jusqu’à la porte pour la mettre, ensuite, au dehors”, tels sont les faits tels qu’ils se sont passés, selon le ministre. Cependant, poursuit M. Diouf, “ses mensonges laconiques et contradictoires ne me feront jamais succomber à ce chantage cruel organisé”.
Ainsi donc, le ministre Arona Coumba Ndoffène Diouf met en touche les propos de Zeyna (comprenez Seynabou Touré) et déplore l’attitude peu catholique du site Dakaractu. Pour lui, la mention de son nom dans ces organes et sites (en y négligeant le nom de Madame Seynabou Touré Baroso) “illustre l’acte délibéré perpétré à des fins classiques connues de tous devant l’absence totale d’arguments pour défendre leur point de vue”. Affaire à suivre…