Lorsque je suis venue au monde , ma grand-mère qui est par ailleurs mon homonyme revenait tout juste de la Mecque. C’est comme ça que mes proches ont commencé à l’appeler Adja et cela a continué avec moi. Voila comment est né le surnom Adja.
Qu’avez-vous fait après les études ?
J’ai d’abord intégré une école de formation pour devenir hôtesse de l’air , mais quatre mois après, j’ai arrêté .L’année suivante , je me suis inscrite en Marketing communication . La formation devait durer 2 ans, mais au bout d’une année , j’ai laissé tomber . Ensuite je me suis lancée dans le mannequinat.
Pourquoi n’allez-vous jamais au terme de vo entreprises ?
Ce n’est pas exactement cela . A vrai dire , j’ai suivi ces formations après avoir abandonné les études , juste pour ne pas rester sans rien faire . Finalement , j’ai fini par me rendre compte que je n’étais pas destinée à ces choses . Je me vois mal être hôtesse de l’air , toujours entre deux avions . Et être derrière un bureau , cela ne m’enchante pas non plus . Je suis une femme indépendante qui n’aime pas être soumise à une hiérarchie. Je compte bientôt me lancer dans mon propre business.
De quelle nature ?
C’est à l’état du projet , je ne peux pas vous en dire plus.
Comment le mannequinat s’est il venu à vous ?
Depuis toute petite, j’ai toujours été attirée par tout ce qui touche à la mode .Je suivais avec beaucoup de passion les défilés de mode et je passais en revue les magazines féminins. Apres mes études , je me suis dit que je pouvais m’y essayer. Et c’est comme ça que j’ai commencé à défiler pour des stylistes. J’ai aussi participé à l’émission « Styles et modes » à Dakar et dans les régions.
Pourquoi avoir arrêté si prématurément alors ?
Le mannequinat est un métier éphémère. On ne peut pas prétendre y durer. En plus au Sénégal il y’a tellement de mannequins qu’il faut à un certain moment leur céder la place , pour qu’elles puissent elles aussi tenter leur chance.
Vos multiples voyages en Europe ont fait couler beaucoup de salive. Il se dit que vous y allez pour rejoindre votre petit ami Mara Ndiaye , le fils d’Ousmane Masseck Ndiaye ?
C’est archi faux, j’ai de la famille en Europe , Toutes mes trois sœurs y vivent , et j’y vais souvent pour les voir. J’ai par ailleurs la nationalité Française, grâce à mon Père . Donc je peux aller en France comme bon me semble.
Mara Ndiaye et vous entreteniez une relation amoureuse quand même ! Est-ce toujours le cas ?
Mara est quelqu’un qui compte énormément pour moi. Il a toujours été présent à mes cotés et particulièrement dans les moments les plus difficiles. Sur son épaule, je peux pleurer lorsque je suis angoissée et je partage avec lui mes joies également.
Etes vous toujours ensemble ?
Ma vie privée me regarde . Mara et moi sommes en de bons termes et c’est tout !
On a également entendu dire que vous sortiez avec le lutteur Balla Gaye 2 et que son épouse Boury Bathily aurait proféré des menaces à votre égard ?
Il n’en ai rien, je n’ai jamais rencontré Balla Gaye , je ne suis même pas une amatrice de lutte . Ce n’est même pas mon style de mec et il ne m’intéresse pas. Allez demander à Boury Bathily ( femme de Balla Gaye) si elle m’a une fois appelée au téléphone . On ne se connait pas.
On vous compare souvent à Adja Diallo , alors que vous vous regardez en chien de faïence . Qu’est ce qui ne colle pas entre vous ?
Adja et moi n’avons aucun problème. Maintenant il peut arriver que deux personnes n’aient pas d’atomes crochus. Ce qui fait que nous ne sommes pas amies, nous ne nous saluons même pas . Nous avons à maintes reprises été amenées à nous rencontrer dans le cadre de notre métier . On le faisait chacun de son coté, sans problèmes. Le feeling ne passe pas et c’est tout.
Le monde de la nuit dont vous êtes une adepte , est miné par des vices tels que l’alcool , la cigarette et la drogue . Vous arrive-t-il d’en consommer ?
Jamais. c’est pour les complexés et je suis loin de l’être, en plus, c’est couteux.
PROPOS RECUEILLIS PAR MARIA DOMINICA GOMIS