Accusée e connivence avec les membres du pouvoir pour quitter son mentor Abdoulaye Baldé Président de l’Union des Centristes du Sénégal, Madame Awa Diop Coly responsable politique de L’UCS et membre du HCCT est sortie de son mutisme, ce vendredi 5 octobre 2018 pour apporter la lumière sur son sort et son lien avec le leader de sa formation politique.
«J’ai appris que mon nom est sur la table du président Sall, comme quoi, je serais prête à transhumer vers le camp du pouvoir en place. Je ne sais pas ceux qui l’ont fait mais je vais porter plainte contre ceux qui ont pris l’initiative d’inscrire mon nom ainsi et également contre ceux qui ont piraté mon numéro de téléphone. Je réitère mon engagement aux cotés de Baldé et que personne ne m’appelle sur de inutilités. Je suis une femme qui est reconnaissante, si aujourd’hui, je suis devenue membre du Haut conseil des collectivités territoriales, c’est grâce au président Abdoulaye Baldé», a déclaré l’en croire Awa Diop Coly.
Elle précise, «deux responsables dont je vais taire les noms m’avaient appelé personnellement pour me parler du président Macky Sall. Je leur ai tout simplement fait savoir que je ne roule que pour Abdoulaye Baldé. C’est le sang de Baldé qui circule dans mes veines».
Dans tous ses états, Awa Diop Coly» de poursuivre : «je ne suis ni de près, ni de loin associée à de telles pratiques que je trouve ignobles et indécentes. Mon compagnonnage avec le président Abdoulaye Baldé est le fruit d’une longue histoire qu’aucun privilège de ce bas monde ne peut altérer.
«Ces rumeurs qui circulent et montées de toutes pièces et je ne suis pas la seule d’après les informations, il y a les noms d’autres femmes. Une chose est claire, pour ces personnes, qu’elles soient du camp présidentiel ou des mercenaires infiltrés dans nos rangs, nous avons fini de les démasquer. Ils doivent comprendre que leurs pratiques mafieuses et sataniques ne passeront pas avec moi, encore moins avec ces vaillantes femmes et ces jeunes engagés et convaincus», rassure la dame de fer de l’UCS.
