Les véhicules de transport en commun, notamment les bus Tata, remplis comme un œuf, constituent souvent une aubaine pour les malfaiteurs de tout acabit qui prennent le malin plaisir de chiper les biens d’autrui ou de se transformer en voleurs de plaisir sexuel au point d’exploser. Une scène pareille s’est déroulée ce vendredi 6 janvier, aux environs de 21 heures, dans un bus de la ligne 76.
Le bus a quitté la cité Sipres de Liberté 6 Extension pour se rendre à la cité Mame Diokh de la commune de Keur Massar. Mais, arrivé au rond-point dénommé «6», le chauffeur embarque d’autres passagers dont le nommé Samba (nom d’emprunt) et s’ébranle à nouveau. Il fait ainsi le plein de passagers, prend l’autoroute à péage et file à toute allure. Le surnommé Samba se met juste derrière une fille et profite des moments de freinage brusque du véhicule pour se cogner sur ses fesses. Piqué par on ne sait quel démon de midi, le gus saisit la pénombre ambiante dans le bus, sort en douce son pénis en érection et commence à le frotter sur la demoiselle.
La fille se rendra compte des agissements du détraqué sexuel lorsque celui-ci pousse un gémissement de plaisir étouffé et éjacule sur les fesses de la jeune femme. Cette dernière sent un liquide versé sur ses habits, se retourne et lance à la cantonade ceci : «y a-t-il quelqu’un dans le bus qui détient un sachet d’eau ?» Cette question a poussé les autres passagers à vérifier du regard. La fille pose sa main sur ses fesses et constate du liquide gluant et collant et hurle de rage. Elle démasque le garçon lubrique, le prend fortement au collet et l’abreuve de propos désobligeants. Elle lui crache sa bile à la figure, le secoue avec violence et se met à le gifler.
La fille se rendra compte des agissements du détraqué sexuel lorsque celui-ci pousse un gémissement de plaisir étouffé et éjacule sur les fesses de la jeune femme. Cette dernière sent un liquide versé sur ses habits, se retourne et lance à la cantonade ceci : «y a-t-il quelqu’un dans le bus qui détient un sachet d’eau ?» Cette question a poussé les autres passagers à vérifier du regard. La fille pose sa main sur ses fesses et constate du liquide gluant et collant et hurle de rage. Elle démasque le garçon lubrique, le prend fortement au collet et l’abreuve de propos désobligeants. Elle lui crache sa bile à la figure, le secoue avec violence et se met à le gifler.
DES PASSAGERS PARLENT D’EXCUSE DE PROVOCATION ET POINTENT DU DOIGT LA TENUE EXTRAVAGANTE DE LA DAME
Le manique sexuel se garde de répliquer, fait profil bas et se tient coi. Il jette des coups d’œil furtifs, guette la réaction musclée d’un passager et s’empresse de réajuster la braguette de son pantalon. Certains passagers se mêlent de l’affaire, élèvent la voix et jettent en pâture le malade sexuel. Ils lui attribuent tous les pêchés d’Israël, se défoulent sur lui et exhortent la victime à le conduire à la police. D’autres prennent la défense du chaud lapin, agitent l’excuse de provocation de la tenue extravagante de la demoiselle et se déchaînent sur cette dernière.
A l’évocation de la police, le passager à la gâchette facile prend peur, guette un arrêt de stop, saute du bus et disparaît dans une ruelle sombre à hauteur de tableau Tivaouane, dans la commune de Diack Sao. Alors qu’il a payé un ticket de transport pour Keur Massar. La fille, toujours l’insulte à la bouche, est descendue du bus Tata à la rue Mame Diarra de Fass Mbao. Laissant derrière elle les commentaires et les remarques diversifiés des passagers de la ligne 76.
Le manique sexuel se garde de répliquer, fait profil bas et se tient coi. Il jette des coups d’œil furtifs, guette la réaction musclée d’un passager et s’empresse de réajuster la braguette de son pantalon. Certains passagers se mêlent de l’affaire, élèvent la voix et jettent en pâture le malade sexuel. Ils lui attribuent tous les pêchés d’Israël, se défoulent sur lui et exhortent la victime à le conduire à la police. D’autres prennent la défense du chaud lapin, agitent l’excuse de provocation de la tenue extravagante de la demoiselle et se déchaînent sur cette dernière.
A l’évocation de la police, le passager à la gâchette facile prend peur, guette un arrêt de stop, saute du bus et disparaît dans une ruelle sombre à hauteur de tableau Tivaouane, dans la commune de Diack Sao. Alors qu’il a payé un ticket de transport pour Keur Massar. La fille, toujours l’insulte à la bouche, est descendue du bus Tata à la rue Mame Diarra de Fass Mbao. Laissant derrière elle les commentaires et les remarques diversifiés des passagers de la ligne 76.
Vieux Père NDIAYE