Une adolescente de 16 ans a été violée par une trentaine d’hommes, mercredi dernier dans une favela de Rio de Janeiro au Brésil. La scène a été en partie filmée et mise en ligne sur les réseaux sociaux avant d‘être supprimée.
La police dit avoir identifié quatre personnes soupçonnées d’avoir participé “directement ou indirectement” aux faits. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer “un crime barbare”, ce sont les mots employés sur Twitter par Michel Temer, le président par intérim. Réaction similaire de la part de Dilma Rousseff, la dirigeante provisoirement écartée du pouvoir. Cet acte sordide a provoqué la même indignation dans la société civile. Le président par intérim a promis la création d’une structure policière spécialisée dans la répression des violences faites aux femmes.
Dans cette affaire, la jeune fille pourrait avoir été victime d’un acte de vengeance de la part d’un ex-petit ami.
Un acte qui indigne et met en émoi tout le Brésil
Senego