Le 20 mars, le collège électoral n’est pas invité à s’exprimer lors d’un référendum, mais plutôt lors d’un “mackyrendum”. Les partisans de Modou Diagne Fada qui ont inventé ce néologisme pensent que c’est l’occasion pour montrer au chef de l’Etat qu’on ne peut pas flouer impunément le peuple.
“La cause du Non est entendue face à ce mackyrendum. Non à l’effritement des valeurs cardinales, Non aux brimades des couches vulnérables, Non au gaspillage des ressources de ce pays, Non à la dévalorisation des institution et au recul démocratique”, notent les partisans du président du Conseil départemental de Kébémer, comme Moctar Dram