Madiambal Diagne s’est fendu d’un tweet, vendredi, pour inviter les uns et les autres à ne pas donner du crédit à l’idée de pression dans l’affaire de la rupture de contrat de Seydina Oumar Touré. L’invite du journaliste est axé sur le fait que ni l’ex Capitaine ni IAM ne le dit.
« Il me semble encore un peu trop facile de donner du crédit à l’idée de pression car ni IAM ni Touré ne le dit. Pourquoi voudrait-on être subitement scrupuleux à dénoncer les responsables de l’Etat ? Et si IAM avait fini elle-même par mesurer son acte et s’est ravisée ?« , a notamment tweeté le patron du groupe Avenir Communication.
Il me semble encore un peu trop facile de donner du crédit à l’idée de pression car ni IAM ni Touré ne le dit. Pourquoi voudrait on être subitement scrupuleux à dénoncer les responsables de l’Etat ? Et si IAM avait fini elle-même par mesurer son acte et s’est ravisée ? https://t.co/BE4d5XzwmT
— Diagne Madiambal (@MadiambalD) April 15, 2022
Rupture de contrat
L’ex capitaine de la gendarmerie, Seydina Oumar Touré s’est vu notifié, jeudi, la rupture de son contrat par l’Institut africain de management (IAM). Un incident intervenu alors qu’il venait de démarrer sa reconversion dans la vie civile en débutant une carrière dans l’enseignement.
Les précisions du ministère
Le ministère de l’Enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation a publié un communiqué, vendredi, indiquant que « l’ex gendarme ne remplit pas les conditions pour dispenser des enseignements au niveau de l’enseignement supérieur d’autant qu’il y a au moins 2000 doctorants disponibles sur le marché du travail« .
Avec Senego