« Si la volonté prêtée aux responsables de l’APR, parti au pouvoir, d’imposer des quotas (de nervis ? de militants ?) à la police et à la gendarmerie dans le cadre des recrutements massifs en cours est avérée, cela constituerait une grave attaque contre l’État et la République
Les forces de défense et de sécurité sont et doivent rester l’incarnation de la nation, de sa diversité et de son unité. Elles ont été préservées jusqu’ici de politisation.
Nous devons tous veiller – presse, société civile, citoyens, hauts gradés de ces corps – à ce que les recrutements en cours se fassent en toute transparence et sans interférence politique »,note dakarmatin.