Les manifestations contre l’arrestation du leader du Pastef, Ousmane Sonko, constatées ces derniers jours sont marquées par la forte présence de nervis aux cotés de la police. Une situation jugée inacceptable par le commissaire en retraite, Boubacar SADIO, qui précise que ces nervis risquent gros sur le plan pénal.
En effet, selon le commissaire à la retraite, « s’il y a plainte, ces nervis sont passibles de la justice parce que seul l’Etat a le monopole de la violence légitime », précise-t-il.