Le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) s’appuie sur le nombre de cas diagnostiqués en « diminution constante » et du nombre de cas hospitalisés en réanimation à Marseille et ailleurs. « On a les mêmes données en France, dans la plupart des pays d’Europe, en Amérique du Nord, donc on est sur une vague descendante. »
Le Professeur Raoult en convient, il ne prédit pas l’avenir mais « si les choses continuent comme ça, on a bien l’impression que ce qui était une des possibilités pour cette maladie, c’est-à-dire que c’est une maladie saisonnière, est en train de se réaliser ».