« Sur le quantum horaire, nous avons jusqu’au 31 juillet dans l’organigramme institutionnel. Nous avons encore le temps. Nous avons encore plusieurs scénarii pour faire face au coronavirus. Il y’a aussi des rattrapages. Nous sommes dans la dynamique de trouver une vraie solution. Mais il faut pas penser à une année blanche. Pour le moment, rien ne nous emmène dans cette direction », a de prime abord expliqué le ministre de l’Education.
Il ajoute: « Encore une fois, l’école va jusqu’au 31 juillet officiellement. Nous avons encore le temps. Nous avons 4 scénarii, mais pour le moment nous avons des stratégies. Nous ne sommes pas dans la logique d’aller à une année blanche. Il y a un scénario où des élèves passeront en validant et d’autres auront des rattrapages. Nous sommes dans une dimension de trouver une solution. Tout le système éducatif, les parents d’élèves et le secteur privé se sont mobilisés pour trouver une solution. Nous ne pensons même pas qu’une l’année blanche puisse être évoquée. »
Pour terminer, M. Talla rassure : « L’espoir est permis et d’ici le 4 mai, avec la reprise des cours, nous espérons être à temps. Pour le moment une année blanche est exclue et un redoublement aussi est exclu. On a un système de validation. Notre système éducatif est bon et il nous reste encore trois mois, alors nous nous concentrons sur notre stratégie. »