« Depuis mercredi dernier, Bougazelli se conjugue au passé à l’Assemblée nationale, puisqu’ayant démissionné ou contraint de le faire. L’ancien député, naguère débonnaire, se morfond, maintenant, dans le violon de la Section de Recherches de la gendarmerie de Colobane, se demandant, très certainement, si après son face-à-face avec le redouté procureur de la République Serigne Bassirou Guèye, il ne va pas découvrir et vivre, au moins le temps de faire face à la barre, les rigueurs et fétides odeurs de la Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss. Ses proches et parents partagent son angoisse. Il sera déféré en principe aujourd’hui et tout porte à croire qu’il sera écroué », lit-on dans la livraison de ce vendredi du quotidien L’As.