En Gambie, la Commission Vérité et Réconciliation s’est transformée en Commission Mensonge et Prostitution. Tenez ! Devant cette commission chargée de faire la lumière sur les exactions commises sous l’ancien régime, des femmes de la Jet-set banjulaise ont accusé l’ex-président Yahya Jammeh de les avoir violées.
Tiens, ça nous rappelle ces femmes tchadiennes qui prétendaient elles aussi avoir été violées par l’ancien président de leur pays, Hissène Habré ! Pour ce qui est de la Gambie, mais c’est aussi valable pour le Tchad, on se demande comment un tout-puissant président de la République couru, sollicité et convoité par tous les citoyens de son pays, peut-il forcer une femme « volage» à entretenir des relations sexuelles avec lui jusqu’à la violer.
Et même à supposer que ces femmes avaient effectivement été violées, pourquoi ne l’avaient-elles pas dénoncé à l’époque de Yahya Jammeh ? Surtout que la plupart de ces soi-disant victimes vivaient entre Paris, New-York et Londres c’est-à-dire loin de la guillotine gambienne.
En tout cas, « Le Témoin » est persuadé que ce sont des accusations grotesques voire cousues de fil blanc. A l’analyse de leurs déclarations, force est d’imaginer qu’elles étaient toutes des prostituées de luxe ou prostituées d’Etat attirées par l’argent facile et les avantages du système.