Bouba peut se targuer d’être le frangin du premier « roi du mbalax », qui l’a responsabilité au plus haut niveau dans sa télévision et son label musical. Il peut se vanter aussi d’avoir épousé, par deux fois, la sulfureuse chanteuse et « reine » du Djolof Band. Il peut même ajouter que c’est lui qui a donné à la musicienne, dont il était le manger, des enfants. Mais, à nouveau libre depuis ses divorces avec Vivi, une sénégalo-américaine et une certaine Fatou Sow, Bouba savoure son célibat. Mais depuis qu’il a été édifié par une affaire de minette, qui avait failli virer au scandale, Bouba exige que ses jeunes conquêtes lui présentent avant tout leurs cartes d’identités, afin de vérifier si elles sont majeures, vaccinées ou vaccinables. Car si Bouba compte fleurette, il ne veut plus avoir de problèmes avec une quelconque fille du procureur. Une sage précaution. Mais la seule identification ne suffit pas. Pour cause, une certaine Aïda W, qui a passé ce test avec succès, raconte que le tombeur a voulu par la suite « accélérer la cadence » avec elle. Pour s’en tirer, elle avait agité l’accusation de tentative de viol. Comme quoi, avant d’accélérer, il faut certes être sûr de la majorité, mais également obtenir le consentement de la candidate à l’épreuve. Wola bok Boubou ?
