« Cela s’explique par le contexte socio-politique au sortir de la présidentielle, la prise en charge d’engagements nouveaux ou insuffisamment évalués. Exemple: la décision d’épurer les dettes dues aux syndicats pour pacifier le climat social ou bien finir des investissements sur fonds propres, ce qui a été fait durant la campagne électorale et la pré-campagne avec des inaugurations », explique l’analyste économiste.
Toutefois, la situation est loin d’être alarmante.« Il y a plusieurs solutions à court terme, dont la loi de finance rectificative, l’émission de nouveaux emprunts sur le marché conjuguée à une redynamisation des régies financières », rapporte pressafrik.com.