Sénégalaises, sénégalais, je compatis à votre muette mais foudroyante douleur. Le malheur qui s’abat sur vous est, je le sais, nous le sentons, intenable. Vous êtes dans la pire des situations: sur un sol asséché, sans eau, ni moyens de vivre dignement, et, pour les musulmans, contraints de jeûner dans les plus atroces conditions. Les milliers de milliards promis au Fake-Groupe Consultatif de Paris se sont révélé des mirages. Les caisses sont vides. Même les promoteurs de la bonne gouvernance les plus bruyants du lot de ces prédateurs, notamment les Souleymane Jules Diop, ont montré leur vraie face -des monstres voleurs!
Le gouvernement illégitime est constitué d’incapables. Ils ne savent même pas par où commencer. L’économie est à l’arrêt; la société dans la tourmente; l’insécurité omnidirectionnelle; la politique saccagée; la nation agonise. Le fautif, tel une souris dans une pièce remplie de chats, cherche l’invisible trou pour sauver sa peau, sans le voir. C’est pourquoi il reprendra les airs dans l’espoir de décrocher une aide budgétaire pour que les sénégalais ne passent pas la première Korite de leur vie sans salaire. Gare à quiconque la lui donnera: la mule est déjà surchargée de dettes. Il faut simplement couper l’appareil respiratoire et la perfusion: comme pour les pays communistes devenus insolvables, dépourvus de tout, le Sénégal, sous le crypto-communiste, Macky SALL-l’illégitime, est arrivé en bout de course. Sans autre issue que la re-fondation que son éviction, sans tarder, est l’unique voie à permettre…
Le débat est tranché: avoir volé les élections ne lui porte pas chance. Au pied du mur, incapable, traqué par ses propres crimes et ceux de son entourage, Macky SALL n’a plus que les slogans et ses insulteurs insipides autour de lui. La caravane se ferme. Elle est assiégée par les défis et la colère d’un peuple trahi, spolié!
C’est la fin.
D’une arnaque.
Ce cauchemar, appelez-le cauchemacky, ne peut perdurer 5 ans.
Tout le monde sait que Macky SALL, voleur, n’a pas l’étoffe d’un chef de village.
Qu’il rende le tablier. Même s’il n’en n’a pas la dignité !
Ps: Parce que mes piqûres font mal, des crieurs en quête d’aumône viennent déverser ici leurs médiocres rhétoriques à la hauteur de la pensée animalière de leur chef suprême, le Djouche SALL ! J’en ris.