Secka n’aime pas qu’on assimile les « tassoukat » à des homosexuels. Pionnier du « tassou » chez les hommes, l’homme à la voix rauque refuse d’être catégorisé dans le lot des artistes considérés comme des « homos ». Selon lui ce n’est pas parce qu’on fait du « tasou » qu’on est efféminé.
« Les Mbalakh-men qu’on accuse d’être des homosexuels sont plus nombreux que les « tassoukat ». Ça dépend da la manière dont on fait le « tassou ». Quand on m’entend parler, personne n’ose dire que je suis un pédé. On sait que c’est un vrai mec qui s’exprime. Je ne suis pas des « tassoukat » qu’on taxe d’homosexuel », confie l’artiste dans Rewmi quotidien.