Incident à la TFM : Le Pur donne sa version

La cellule de communication du Parti de l’unité et du rassemblement (Pur) n’a pas attendu longtemps pour donner sa version sur l’incident qui a eu lieu à la Tfm. Le candidat du parti pour la présidentielle, Issa Sal, avait refusé de faire une séance de questions-réponses avec les enfants de Sen petit gallé à la demande de Ngoné Ndour, patronne de ce programme qui donne la parole aux tout-petits.

Selon Moustapha Sarr, l’attaché de presse du Pur, Issa Sall, était à la Tfm pour enregistrer l’émission “La grande interview”. Il détaille : “Puis, une fois dans les coulisses, on s’est rendu compte qu’une personne était en train de faire passer nos discussions personnelles en direct sur leurs pages Facebook. Et c’est par la suite que je me suis approché de lui pour lui demander d’arrêter le direct car ça ne faisait pas partie des clauses de l’émission. Et après un moment de discussion, il a ‘Quelques temps après, poursuit Sarr, Ngoné Ndour est venue avec l’équipe de “Sen Petit Gallé” pour demander à Issa Sall 15 minutes pour une série de questions-réponses avec les enfants.
“On ne sait pas par quelle magie cette histoire a atterri dans les colonnes du journal Libération qui ne couvre jamais nos événements”

“Ce que Issa n’a pas accepté de faire car ce n’était pas prévu dans son agenda, et il ne pouvait pas l’improviser comme ça. Ils n’ont pas encore démarré l’émission qui nous réunissait et ils voulaient qu’on fasse une autre émission à l’improviste”, fustige l’attaché de presse du Pur.

“C’est sur ces entrefaites qu’une personne a demandé à Issa de ne pas sous-estimer ces enfants car ils ont des parents qui peuvent voter, rembobine Sarr. Et le président de rétorquer qu’il ne cède pas sous le chantage. Et si c’est comme ça, leurs parents n’ont qu’à ne pas voter pour lui.”

Et durant ces échanges, dira-t-il, l’homme qui était en train de les filmer avait recommencé à enregistrer. Et c’est par la suite qu’il a interpelé Daouda Mine de iGfm. Qui a ordonné l’effacement de la vidéo sur la plateforme tout en leur présentant ses excuses.

“Aujourd’hui, on ne sait pas par quelle magie cette histoire a atterri dans les colonnes du journal Libération qui ne couvre jamais nos événements”, s’étonne Moustapha Sarr.

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