A près d’un mois jour pour jour de l’élection présidentielle du 24 Février 2018,les violences électorales commencent à germer sur notre cher pays le Senegal. En effet on note depuis la publication récente du conseil constitutionnel la liste des candidats retenus pour l’élection,le climat politique est devenu exécrable avec la multiplication des phénomènes de casse et de destruction de biens d’autrui dont les responsables sont difficiles à être identifiés. En moins d’une semaine des bus de la société de transport public ont été brûlés et ce n’est que la face visible de l’aceberg .Des stations d’essence ont aussi subi la colère des manifestants dans la rue. Cependant la question qui mérite d’être posée est : qui est responsable ? La prise en charge d’une telle problématique mais l’Etat central,chargé de la sécurité et des biens de la population est au banc des accusés.Ensuite il faut comprendre que les décisions qui ont été rendues par le conseil constitutionnel est en partie la conséquence de ces actes mêmes si ce n’est point une raison valable pour cautionner de tels crimes et actes de sauvages que l’on ne saurait toléré dans un Etat démocratique.
La rédaction de Sanslimitesn.com tient à interpeller les autorités,chargées de la sécurité publique à assurer la garantie et la protection des biens et des personnes sur les dangers qui menacent le pays à un mois des élections. Sanslimitesn.com