« Le processus électoral souffre d’un gros péché, le déficit de consensus, la faiblesse des organes de régulation, le soupçon sur la neutralité de l’Administration et les effets pervers de l’adoption brutale de la loi sur le parrainage sans aucune suffisance préparation », estime le directeur régional d’Amnesty international pour l’Afrique, Alioune Tine dans un entretien qu’il a accordé au journal l’Observateur dans sa livraison du 17 janvier 2019.
Selon l’ancien secrétaire général de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l´Homme (RADDHO), la société civile surveille les différentes étapes du processus, elle alerte, mais quand c’est fait sans réponse appropriée par les autorités et les acteurs politiques, les alertes sont inefficaces.