Un journal repris par quelques sites internet nous avaient, dernièrement, cité dans un article de presse nous présentant comme «les bras droits » de Ousmane Sonko, candidat à la prochaine présidentielle. Pour que nul ne l’ignore, nous utilisons ce droit légitime à la réponse, que nous confère la loi, pour apporter quelques précisions à cette prétendue proximité. A l’opinion nationale et internationale, nous tenons à faire connaître qu’aucune proximité ni amicale, ni professionnelle ou politique ne lie M. Abdourahmane Baldé, notre directeur général, à une quelconque société liée à M. Ousmane Sonko. En ce qui concerne l’affaire du TF 1451/R objet dudit article, nous informons l’opinion que, c’est suite à une saisine officielle d’une partie des héritiers Ndiaga NDOYE et consorts que nous avons décidé de défendre le dossier objet d’un latent litige de pères et mères de famille spoliés de leurs droits. Notre cabinet avait pour mission d’entamer une médiation-conciliation pour le règlement, à l’amiable, du différend concernant le TF suscité.
C’est à ce titre, que nous avons entrepris de rencontrer l’ensemble des acteurs impliqués dans ce dossier; dont l’homme d’affaires Seydou SARR (dit Tahirou SARR). Alors que ce dossier est privé et relève du domaine purement professionnel, nous avons été stupéfaits de voir qu’un gros amalgame a été, sciemment entretenu, autour de sa gestion, pour nous faire passer pour «des bras droits» d’un homme politique. Cette campagne médiatique tendant à nous faire passer pour ce que nous ne sommes pas n’a d’objectif que de tromper l’opinion. Et, à certainement, assouvir des desseins et intérêts inavoués. En notre qualité de professionnel du droit, soumis à des règles déontologiques, à l’obligation de réserve et au secret professionnel, nous ne pouvons pas, comme le fait si grossièrement M. SARR, nous adonner à cette basse pratique de discrédit. Et de délation sur la place publique. Nous tenons à attirer l’attention de l’opinion sur le fait qu’en publiant nos SMS, l’auteur des publications a sciemment omis de faire constater et publier les réponses qu’il nous envoyait. Echanges que nous avons sciemment conservés. S’il est vrai que M. SARR avait été victime d’une tentative de chantage ou d’extorsion de fonds, pourquoi s’est-il privé de publier, in extenso, l’intégralité de nos échanges via SMS ? N’a-t-il pas, désormais, la latitude de saisir les juridictions compétentes et porter plainte ? Face à ce qui s’apparente à une flagrante mauvaise foi dont nous ignorons les objectifs, nous avons pris les devants. Et avons fait constater, par un huissier de justice, tous nos échanges avec M. Seydou SARR. Le cabinet AB Partners est une jeune équipe constituée de Sénégalais travaillant uniquement dans le domaine du Droit, la fiscalité et les investissements. C’est à ce titre, puisque rentrant dans nos domaines de compétence, que nous avons pris la gestion de ce dossier impliquant M. Seydou Sarr et Mamour Diallo, pour trouver une solution -à l’amiable- afin d’en finir avec une situation lassante qui a conduit à des drames humains.
AB PARTNERS La cellule de commination