Au-delà des pratiques occultes et bagarres mystiques secrètes qui rythmaient le quotidien infernal des couples polygames,aujourd’hui de « nouvelles formes de punition plus osée » se succèdent. Une femme a versé de l’essence sur son mari avant de le brûlé vif,une autre a attaqué sa coépouse à coup de hache.D’où la question à savoir si certains maris ne sont-ils pas en sursis?
jusque ici ces histoire de « ayé » (tour),de bagarre mystiques secrètes qui rythmaient le quotidien infernal de certaines co-épouse au Sénégal.
Bien sùr,la presse fait souvent état de certaines co-épouses ou maris ébouillanté(e)s,avec de l’eau chaude ou de l’huile et agressé(e)s avec d’autres armes.Mais quand on asperge d’essence son mari pour le brûler,parce qu’il a parlé d’une « niarel »,c’est que la roue a été réinventée.D’autant plus que cette forme de violence n’était pas fréquente dans ce cercle déplorable des violences de couples.
Dans tout les cas,la semaine du 5 novembre 2018 restera dans les annales des scènes de ménages au Sénégal.Puisqu’elle a été marquée par deux cas de violences conjugales commises non pas par des hommes,mais par des femmes.
VOX POPULI