LANCER LE DIAPORAMA
Actuellement en visite d’État aux États-Unis, Brigitte Macron a profité d’un moment de répit dans le planning surchargé du couple présidentiel français pour accorder une interview furtive et exclusive à RTL, ce mercredi 25 avril. Loin du protocole et des caméras, la première dame a notamment visité une école dédiée à l’éducation des arts dans le quartier de Georgetown, à Washington. Au micro de RTL, elle ne cache pas son soulagement de s’échapper un peu, loin d’Emmanuel Macron. « Il y a une petite étiquette par terre, donc je me mets où on me dit de me mettre« , lance-t-elle, fataliste. Et d’ajouter avec humour : « Je fais toujours l’école buissonnière. »
« Dans ma tête, je suis l’épouse d’Emmanuel Macron, pas l’épouse du président. Je ne me sens pas du tout première dame, assure l’intéressée qui s’est notamment distinguée sur des sujets comme l’éducation des jeunes filles ou le handicap. Vous avez cette responsabilité qui vous tombe dessus de représenter les Françaises et les Français. Sinon, je vis une vie normale. Je rencontre des gens. Je n’ai pas changé ni dans ma tête ni dans ma manière de vivre. »
Selon Brigitte Macron, « il ne faut surtout pas être importune parce que c’est très clair, on n’est pas élue« . « Le positionnement n’est pas simple« , reconnaît-elle, déplorant « le côté le plus pesant » : « Ce que je n’aime pas, c’est qu’il n’y a jamais de temps off. Où que vous soyez, il y a toujours quelqu’un pour vous prendre en photo. Il n’y a jamais de moment où vous pouvez être totalement tranquille. » Elle ajoute être de nature bavarde, ce qui n’est pas du goût des défenseurs du protocole. « On a l’impression que chaque mot est un mot de trop« , s’agace-t-elle, trouvant cela « dommage« .
Purepeople