Cette beauté n’a pas à se faire du mauvais sang : “aucun mandat d’arrêt international n’est émis contre elle”

ADJA DIALLOLa rumeur a circulé, hier, dans certaines Rédactions et Rues de Dakar. Mais nos confrères de Dakaractu.com se veulent formels : “contrairement à ce qu’avance une certaine presse, depuis quelques jours, aucun mandat d’arrêt international n’a été lancé contre Adja Diallo dans l’affaire dite de Maty M’bodj”, soutient l’équipe de Serigne Diagne.

Pour étayer ses écrits, le site en question explique : “dans cette affaire qui a vu l’arrestation de deux suspects à savoir Thierry N’gom et Mohamed Thiaya, aucun mandat d’arrêt international  n’a été délivré à l’encontre d’une personne. Le Procureur n’a pas autorité à lancer des mandats d’arrêt internationaux. Le procureur peut envoyer des ordres d’arrestation ou un mandat d’emmener, en cas de flagrant délit, mais pas de mandat d’arrêt international”.

Poursuivant, Dakaractu.com renchérit : “dans cette affaire, le Procureur n’a pas envoyé d’ordre d’arrestation ou de mandat d’emmener”. Mieux, s’interroge-t-il : “comment peut-on parler de mandat d’arrêt dans une affaire où les deux suspects ont déjà trois retours de parquet, du fait que jusqu’à hier soir, on n’avait pas encore de cabinet pour qu’un juge d’instruction s’occupe de cette affaire?”

Selon nos confrères, c’est aujourd’hui que le dossier va être remis au 5 ème cabinet pour instruction. Un mandat d’arrêt doit être délivré par un juge à l’encontre de la personne visée pour des indices graves ou concordants rendant vraisemblable qu’elle ait pu participer, comme auteur ou complice, à la commission d’une infraction, ou le tribunal après jugement”.

Dans ce cas précis, seul le juge d’instruction a la possibilité de lancer des mandats d’arrêt internationaux. Le dossier va entrer en instruction aujourd’hui et les deux suspects feront face au juge du 5 ème cabinet qui les fixera sur leur sort aujourd’hui.

En d’autres termes, si l’on se fie aux écrits de nos confrères, le mannequin Adja Diallo peut dormir, poings fermés. Et ne pas se faire du mauvais sang, dans l’affaire Maty Mbodj, pour laquelle elle a été entendue par la Division des investigations criminelles, puis relâchée.

Actusen.com

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