C’est à proximité de la grande tente devant abriter la cérémonie officielle marquant le démarrage du magal de Porokhane que l’imposant mausolée de la vénérée Mame Diarra Bousso est dressé. Un gigantesque bâtiment qui fait l’attraction de ce grand évènement de la communauté mouride.
En atteste les longues files d’attente surveillées de près par les forces de l’ordre déployées pour la circonstance. Ces pèlerins composés en majorité de femmes, sont venus de tous les coins de la planète pour boire à la source miraculeuse de la mère du fondateur du mouridisme. La quasi-totalité des pèlerins interrogés n’a pas manqué de louer l’humilité et l’obéissance de la sainte qui lui a valu ce grand magal. Du côté des femmes, le leitmotiv est de s’inspirer de l’exemple de Mame Diarra Bousso pour être une femme exemplaire dont le mari ne tarira jamais d’éloges à son endroit. En lieu et place des tenues et des comportements peu orthodoxes, les filles sont pratiquement métamorphosées. Elles se surnomment toutes Sokhna Mame Diarra Bousso et leur habillement renseigne sur leur volonté de suivre les pas de leur homonyme: » être une femme qui obéit aux ordres de son époux tout en se souciant de l’éducation de ses enfants ». nous confie Fama Ndiaye répondant au nom de Sokhna Mame Diarra Bousso.
Derrière les barricades érigées par les forces de l’ordre pour organiser les ziaras, se trouvent des photographes qui ont aussi effectué le déplacement pour immortaliser l’événement.
Difficile pour les passants de se frayer un chemin pour accéder aux lieux de prière à cause du monde fou qui squatte les alentours du mausolée…
En atteste les longues files d’attente surveillées de près par les forces de l’ordre déployées pour la circonstance. Ces pèlerins composés en majorité de femmes, sont venus de tous les coins de la planète pour boire à la source miraculeuse de la mère du fondateur du mouridisme. La quasi-totalité des pèlerins interrogés n’a pas manqué de louer l’humilité et l’obéissance de la sainte qui lui a valu ce grand magal. Du côté des femmes, le leitmotiv est de s’inspirer de l’exemple de Mame Diarra Bousso pour être une femme exemplaire dont le mari ne tarira jamais d’éloges à son endroit. En lieu et place des tenues et des comportements peu orthodoxes, les filles sont pratiquement métamorphosées. Elles se surnomment toutes Sokhna Mame Diarra Bousso et leur habillement renseigne sur leur volonté de suivre les pas de leur homonyme: » être une femme qui obéit aux ordres de son époux tout en se souciant de l’éducation de ses enfants ». nous confie Fama Ndiaye répondant au nom de Sokhna Mame Diarra Bousso.
Derrière les barricades érigées par les forces de l’ordre pour organiser les ziaras, se trouvent des photographes qui ont aussi effectué le déplacement pour immortaliser l’événement.
Difficile pour les passants de se frayer un chemin pour accéder aux lieux de prière à cause du monde fou qui squatte les alentours du mausolée…