Après plusieurs mois d’enquête, le consortium international des journalistes d’investigations qui a révélé le scandale mondial des « Panama-Papers », revient à la charge en rendant publique une liste de 80 000 entités offshore montées dans des conditions opaques et logées à Malte, ce petit fiscal qui est dans le viseur de l’Union européenne.
Libération renseigne que des sénégalais et des étrangers établis dans notre pays figurent dans ses fichiers comme actionnaires bénéficiaires ou dirigeants de sociétés offshore.