Nouvelles réactions après les révélations de l’ONG Human Rights Watch qui accuse le régime de Joseph Kabila d’avoir utilisé des éléments du M23 comme mercenaires pour se maintenir au pouvoir en décembre 2016.
Des accusations que le gouvernement congolais dément. De son côté, la Monusco demande une enquête. Charles Bambara, le directeur de la communication à la Monusco, rappelle ici que la déclaration de Nairobi est en panne ; cette déclaration, qui engage la RDC et le M23 doit être prise en compte par les différentes parties.