Oumou Ndiaye, une self-made-women au service exclusif du développement du Sénégal
Le Sénégal tel qu’il se porte aujourd’hui présente de sérieuses craintes quant à l’accomplissement effectif de l’émergence tant déclamée. Notre pays qui dispose d’énormes ressources naturelles ne produit pratiquement rien sur place. Les produits que nous consommons pour l’essentiel proviennent de l’étranger. Et pour sortir de cet état de chose, le Sénégal a besoin de leaders qui posent des actes forts, courageux et libérateurs. Et parmi ces derniers, se trouve une femme qui a su, par le temps et par la force de son intelligence, s’imposer comme étant l’un des plus grands leaders que compte cette nation.
Elle a su très tôt prendre son destin en main en ouvrant à Ngor l’une des plus grandes boutiques de prêt à porter du Sénégal. Lieu où elle a commencé à vendre des vêtements de marque. Quand on veut bien s’habiller, aussi bien pour les hommes que les femmes, il faut toujours faire un tour chez elle. Chemin faisant, elle a diversifié ses activités et s’est lancée dans l’entreprenariat. Avec son agence immobilière, elle s’active aussi dans la construction d’immeubles haut-de-gamme.
Intellectuelle chevronnée, elle ne s’est pas confinée au Sénégal si bien que son mari feu Serigne Fallou fut, malgré le fait qu’il fut Français, converti à l’islam par le Khalife général des mourides de l’époque. Et à aucun moment, elle ne l’a abandonnée et même après le décès de son défunt mari, elle s’est battue corps et âme pour qu’il repose en paix à Touba. Ce qui exalte toute la grandeur de cette dame. Ceci ne surprend guère ceux qui connaissent bien la maman d’Oumou Badara Ndiaye. En effet, sa maman Dior qu’elle affectionne énormément fait partie de ces disciples de Cheikh Ahmadou Bamba qui ont beaucoup contribué pour la consolidation du mouridisme.
A chaque occasion de la commémoration du départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba, sa maman distribue des vivres aux pèlerins venus des quatre coins du monde. Rien qu’à travers ce geste, l’on peut dire sans risque de se tromper que cette missionnaire est un don de Dieu. A Khelcom aussi, elle profite des moments de récolte pour assister les bénévoles qui s’activent dans les champs en leur donnant à manger et à boire durant toute la durée de leur séjour. Et il est communément admis en islam, que celui qui donne une personne à manger à sa faim a plus de mérite que celui qui construit 1000 mosquées.
De ce point de vue, Oumou Ndiaye ne pouvait qu’être une bonne femme car elle ne fait que traduire en acte ce qu’elle a reçu de sa maman. Comme l’atteste l’adage wolof : « Nite bou galé loumou nampoule diakhal ndeyame’’.
Jamais elle n’a été interpellée pour des problèmes de faits divers. Issue d’une bonne famille et ayant reçu une éducation exemplaire, Oumou Ndiaye est une référence pour toutes les jeunes filles Sénégalaises. Parti de rien pour réussir, il faut vraiment avoir une maman vertueuse à l’honneur irréprochable pour le faire. Sa sœur Aida Ndakha Ndiaye, qui suit allégrement ses pas, mérite toute sa confiance. Elles ont en commun cette politesse cérémonieuse qui fait qu’elles sont aimées de tous les Sénégalais.
La rédaction de Senegalinfo.net encourage ainsi cette brave dame qui a su toujours travailler à la sueur de son front et qui a toujours refusé de verser dans la facilité. Par contre, ceux qui veulent profiter de leur strapontin pour piller les caisses de l’Etat seront démasqués et leur véritable nature dévoilée. En un mot pour mille, la grande dame au sourire radieux, Oumou Ndiaye, fait partie de ces symboles qui contribuent à l’émergence du Sénégal. Elle mérite amplement le soutien de tous les Sénégalais soucieux du devenir de ce pays.
La rédaction de Senegalinfo.net