La qualification en poche, c’est le 1er décembre prochain à Moscou que les lions connaitront leurs adversaires de la phase de poules du mondial 2018. De grosses affichent ne manqueront pas pour les joueurs d’Aliou Cissé.
Il ne faut pas tomber des nues quand celui qui sera préposé à tirer les boules le 1er décembre prochain, aura la main chaude, quand il s’agira de sortir les adversaires du Sénégal pour la Coupe du monde 2018.
Sénégal avec Brésil, Espagne et Corée du Sud
Logés dans le chapeau 3, les lions vont croiser à coup sûr de gros morceaux des chapeaux 1 et 2. Déjà dans le chapeau 1, que des noms ronflants : Allemagne, Brésil, Argentine, sans compter France et Belgique, Portugal. Aucune de ces équipes ne sera facile pour les lions. Dans le chapeau 2, les joueurs d’Aliou Cissé pourraient affronter l’Espagne, l’Angleterre, la Croatie ou l’Uruguay.
Le tirage au sort le plus difficile pour les lions serait d’affronter : Brésil ou Allemagne ou Argentine (chapeau 1), Espagne (Chapeau 2) et Corée du Sud (Chapeau 4).
La bonne étoile de Cissé
Si les affiches de feu ne manqueront pas pour l’équipe nationale du Sénégal, le sélectionneur peut à croire en sa bonne étoile. Lui, le béni, le chanceux. En effet, le tirage le plus clément pour les lions pourrait être Pologne ou Russie (chapeau 1) et Suisse ou Mexique (chapeau 2). C’est moins alarmant pour les équipes qui sont dans le chapeau 4 avec la Serbie, l’Autriche, le Japon, le panama, la Corée du Sud et l’Arabie Saoudite.
Epopée de 2002
Pour sa seule participation jusqu’alors à la Coupe du monde, en 2002, le Sénégal avait créé l’exploit de battre d’entrée la champion d’Europe, champion du monde en titre, la France. Le Rufisquois pape Bouba Diop est entré dans l’histoire en marquant le but victorieux (1-0) et le premier de l’histoire du Sénégal dans un mondial.
Les lions vont ensuite tour à tour neutraliser le Danemark 1-1 (but de Salif Diao ensuite expulsé) et l’Uruguay 3-3 (but de Khalidou Fadiga et doublé de Pape Bouba Diop), avant de battre la Suède 2-1 en prolongations (doublé de Henri Camara).
Pourquoi pas rêver d’un tel parcours en 2018,16 ans après.
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Dakaractu