Les besoins en eau dans la ville sainte de Touba sont inestimables à quelques heures du Magal. Les populations qui vivent à Dianatou et dans les santhaines (quartiers périphériques) de Touba vivent le calvaire avec ce manque d’eau notoire. Hommes, femmes et enfants, en voiture ou en calèche ou bassine sur la tête, en quête du liquide précieux.
Touba s’agrandit de jour en jour et lors du Magal, des villages se déplacent avec de maigres moyens pour répondre à l’appel de Cheikh Ahmadou Bamba.