Malgré le flot de promesses de l’État, de certains de ses déménagements et les innombrables tournées effectuées dans la cité religieuse par l’administration et les techniciens, la réalité est là, bien palpable. Touba est donc toujours confrontée à des pénuries aiguës d’eau.
La localité la plus touchée demeure Dianatoul Mahwa. Un tour dans la localité a permis de vérifier de visu la situation qui prévaut sur place. Les charrettes constituent la seule alternative et le fût est vendu à des prix exorbitants…
L’administration parle de travaux de réparation non encore achevées. Ce qui recoupe d’avec la réalité du terrain avec notamment la visite hier du DG de L’Ofor dans la cité et au niveau de certains forages.