Alors que la communauté internationale est réunie à New York, mardi 19 septembre, pour l’Assemblée générale des Nations Unies, c’est depuis Naypyidaw, la capitale birmane, que la chef de gouvernement Aung San Suu Kyi a évoqué, pour la première fois, la question des réfugiés rohingyas.
Cette minorité musulmane, privée de la nationalité birmane en 1982, est la cible de nombreuses violences et discriminations depuis qu’une attaque de rebelles rohyngyas a entraîné fin août une contre-offensive militaire, à tel point que l’ONU dénonce désormais une « épuration ethnique » et exige un accès « illimité » au pays. De son côté, Aung San Suu Kyi minimise cette crise…
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Avec France24