Le site de référence de l’Afrique de l’ouest Sanslimitesn analyse dans son chronique du jour la montée en puissance du club de la capital,le Paris Saint Germain mais cette ascension est parfois entachée par quelques critiques.
La triplette magique version qatari fait trembler les grands d’Europe tels que le Real madrid,Barça,Bayern et la Juve. A l’image du président Nasser Al Khélaïfi visiblement satisfait de la prestation d’hier soir face au Celtic (5-0) .
NASSER AL-KHELAÏFI. «Oui, c’était magnifique de débuter la Ligue des champions de cette manière. On a commencé ce match avec un seul objectif : celui de marquer et de gagner et c’est ce qu’on a fait. »
Et pour parler du nouveau trio offensif,l’homme de confiance de l’émir du Qatar Al Thani n’a pas tari d’éloges à la « MCN » le nouveau surnom de l’attaque parisienne qui réunit ensemble vaut 466 millions d’euros ce qui fait d’eux l’attaque la plus chère de l’histoire du football.
Etes vous satisfait du trio,la MCN ?
« Oui, on a signé deux grands joueurs pour marquer et jouer comme on l’a fait ce soir. Mais ce n’est pas seulement grâce à eux deux. Tout le monde a fait un grand match ce soir. On veut continuer à travailler dur tous les jours. Je sais que c’est difficile, mais notre objectif c’est de jouer comme ça à tous les matchs.Il faut pas oublier Cavani qui a aussi été au rendez vous jusque là ».
Le Paris Saint Germain dérange les plus grands clubs en atteste les dernières sorties fracassantes des membres de L’ECA (Association Européen des clubs) Karl Rummenigge et Jean Michel Aulas.
Jean-Michel Aulas, très critique sur le transfert de Neymar ces derniers jours, a pourtant affirmé à France Football ne pas être « anti-PSG ».
De son côté, Karl-Heinz Rummenigge a tenu à différencier la philosophie supposée du Bayern Munich à celle du club parisien.C’est ainsi que dans une interview accordée à Sport Bild que le dirigeant munichois s’insurge du transfert de Neymar: « Le transfert de Neymar a coûté plus cher que le total dépensé pour notre stade (l’Allianz Arena a couté 340 millions d’euros mais la compagnie d’assurance Allianz a financé une partie du projet, ndlr). Nous, le Bayern, devons avoir une philosophie différente : nous ne voulons pas de ça, nous ne pouvons pas faire ça » . Il emboite le pas à son associé Uli Hoeness, président du club munichois, qui avait déclaré que dépenser « autant d’argent » pour un joueur était « plus un aveu de faiblesse qu’un tour de force ».
Hélas Cher dirigeant de L’ECA,veuillez accepter et accueillir vos homologues parisiens et mancuniens…Fini le partage du gâteau.
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