À l’heure où ces lignes sont écrites, des cantines sont fermées au marché de Mbacké et au marché Ocass de Touba. Les commerçants sont sommés par les services des deux municipalités de payer les patentes et autres taxes.
Certains commerces ont déjà été fermés. Les commerçants refusent de payer à cause de l’état regrettable des marchés où tas d’immondices et odeurs nauséabondes se disputent la vedette. L’on ne comprend pas pourquoi l’argent versé à titre de taxe et patente n’est » jamais utilisé pour lutter contre la galopante insalubrité. »
Là et maintenant, la tension est en train de monter petit-à-petit et l’on peut craindre dans les prochaines heures une grogne généralisée. Affaire à suivre…