Cette affaire a choqué plus d’un. Le week-end dernier, une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montrait des jeunes filles nues en train de se faire violement tabassées. Il s’avérait par la suite que ces jeunes filles étaient des ivoiriennes et leurs bourreaux des camerounais. Si cette affaire a suscité la colère et le gout chez les ivoiriens de l’étranger comme ceux du pays, elle cachait assez de mystères. Pourquoi ces jeunes filles ce ont elles eu droit à se traitement violent ? Voici ce qui s’est réellement passé.
Selon un ivoirien vivant au Maroc, ce sont les jeunes ivoiriennes elles-mêmes qui seraient à la base de cet incident. Celles-ci travaillaient chez une camerounaise installée au Maroc. Un jour une histoire éclata entre les deux compatriotes, et non avec leur employeur.
Cette bagarre créant ainsi le vacarme dans l’immeuble où elles vivaient a interpelé les autres habitants de cet immeuble. Selon le témoin, la police avait été alertée et informé du vacarme qui sévissait dans l’immeuble. Les agents de police ont donc décidé d’appeler celle qui payait le bail, c’est-à-dire la camerounaise et lui demander de quitter l’appartement dans l’urgence. Car les habitant de l’immeuble se plaignent tout le temps des bruits que font les celles qui vivent dans cet appartement.
En colère, car au Maroc il est très difficile pour un étranger de se loger, elle demande aux ivoiriennes de lui rembourser l’argent de la caution. La somme s’élevait à 8000 dirhams marocains, soit plus de 500 000 FCFA. N’ayant pas cet argent, les jeunes ivoiriennes ont fui se réfugier chez un de leur compatriote toujours au Maroc.
C’est ainsi que la camerounaise à envoyer ses frères camerounais à la recherche des jeunes ivoiriennes. Elles ont été retrouvées chez un autre ivoirien qui selon le témoin les a livrer. Car lui-même avait une dette envers ces camerounais. Alors ces jeunes filles ont été embarquées dans un endroit où elles ont été passées à tabac.
Les bourreaux des jeunes filles ont filmé cette scène pour mettre la pression sur la famille de l’une des ivoiriennes afin de rembourser ce qu’elles doivent à leur sœur camerounaise. Une enquête est ouverte et cette affaire sera bientôt élucidée.
